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AUDIOSCOPE : Panorama 2022 du marché de l’audioprothèse

Actualités

24.11.22

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Gallileo a interrogé par courrier sur les mois de Septembre et d’Octobre 2022 (Hors groupements succursalistes). L’échantillon interrogé est constitué de 48% d’audioprothésistes propriétaires de leur(s) centre(s) et de 52% d’audioprothésistes salariés responsables du/des centre(s) dans le(s)quel(s) ils travaillent. Voici les principaux enseignements.

Indicateurs économiques 2022 de la profession indépendante (tendances)

TABLEAU DE BORD DE LA PERFORMANCE POUR UN CENTRE DE CORRECTION AUDITIVE INDEPENDANT (% calculé sur la base du nombre de répondants)
Le CA TTC Moyen du centre principal s’établit en moyenne à 452 188€, soit +21% par rapport à l’année passée (ensemble de l’activité : 745K€). On note une répartition de l’activité du centre comme suit : viennent en tête les écouteurs déportés (73%), puis loin derrière les contours (19%), et enfin les intra (7%).
Parmi les appareils, 62% sont rechargeables et 38% à piles.

 

  • Nombre d’appareils auditifs vendus par mois / an au sein d’un centre (multipropriétaires: centre principal)
    En moyenne en 2022, un audioprothésiste vend 30 aides auditives / mois, soit 360 appareils / an
  • Prix de vente moyen d’un appareil auditif au sein du centre de correction auditive
    On note une diminution du prix moyen de -15€ vs 2021, soit -1,2%. 68% des audioprothésistes interrogés proposent un prix de vente moyen inférieur à 1 400€, contre 73% en 2021.
  • CA du centre (multipropriétaires: centre principal)
    En moyenne, un centre d’audioprothèse indépendant réalise un CA de 452 188€, en forte augmentation depuis 2021 (+78 K € en 2022 vs. 2021).
    NB: dans le cas des multipropriétaires il s’agit du CA du centre principal
  • Perspectives pour l’avenir de la profession
    Une majorité des audioprothésistes sont optimistes mais dans une moindre mesure qu’en 2021.
  • Impact du 100% Santé
    91% des audioprothésistes considèrent le 100% Santé comme une opportunité pour leur centre.
    2 audioprothésistes sur 3 craignent néanmoins que cela ne tire les prix de la classe 2 vers le bas.