Cette 9e édition des Assises, placée sous le signe de l’investissement, se propose d’identifier les conditions pour lesquelles le bruit peut constituer un levier ou un frein à la transition écologique, à l’économie et à l’amélioration du bien-être.
L’objectif recherché est double :
La non prise en compte des effets sanitaires et économiques du bruit coûte cher : 147 milliards d’euros par an en France ! C’est en substance ce que révèle le rapport sur le coût social rendu public en juillet 2021 par l’ADEME et le Conseil national du bruit. Mettre en regard le coût des actions de réduction du bruit avec les bénéfices économiques qu’elles peuvent apporter à la société, afin d’informer les décideurs sur l’intérêt de leur mise en œuvre, c’est là tout l’intérêt d’une telle évaluation. Et c’est précisément la posture que nous proposons d’adopter pour ces Assises, en abordant les sujets d’aujourd’hui et de demain sous le prisme de la thématique générale « Investissons [dans] l’environnement sonore ! »